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Objectif Bac

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Derniers commentaires
19 mai 2011

Bonne chance !

Hey hey hey!

 

Je vois que le Bac approche à grand pas cette année ! Le temps passe vite, n'est-ce pas? C'est surprenant. J'ai l'impression que c'était hier que je planchais comme une malade sur mes textes d'espagnol pour être sûre de réussir mon oral...

 

Et bien, je vous souhaite à tous bonne chance pour vos épreuves, en espérant que le peu qu'il y a sur ce blog vous serve et que vous ressortiez contents de vos épreuves !

Je tiens à signaler qu'il est très possible qu'il y ait des fautes d'espagnol dans mes commentaires (nous n'avions travaillé que l'oral cette année là, et je les ai rédigé avec mon amie à la va-vite pour avoir un support de travail.) ainsi que des fautes de français dans mes autres fiches (ah, là encore, la rédaction vite-fait y est pour quelque chose).

 

Je signale aussi, après avoir reçu plusieurs demandes de ce genre, que je ne suis plus en classe de terminale, et mon amie non plus, donc nous n'avons pas de nouveaux textes, ni de nouvelles fiches. Comme nous n'avons pas de temps à consacrer à nos anciens cours (il faut aller de l'avant, après tout !) et que nous n'avons pas la motivation non plus pour terminer de copier les cours de philo ou d'histoire, le blog est achevé, et restera tel-quel jusqu'à ce que nous décidions de le supprimer.

 

 

Donc en espérant que nos fiches vous servent,

Cordialement,

Sia.

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6 janvier 2011

NEWS

Bonsoir à tous, chers lecteurs.

Voir que jour après jour vous êtes si nombreux à passer par ce blog, c'est un vrai plaisir, et pour cela, je vous remercie.
J'espère sincèrement que toutes ces fiches vous ont servi et que grâce à elles vous avez pu progresser. Je tiens à dire un "merci" particulier à ceux ou celles qui ont pris la peine de laisser des commentaires, c'est probablement cela que j'apprécie le plus.

S'il vous plait, n'oubliez pas que nous avons travaillé dur pour faire toutes ses fiches et nous avons fait de notre mieux pour les partager.

Il se peut que dans les mois à venir, ce blog soit effacé. Je ne voudrais pas que sa seule utilité soit d'aider des gens à ne pas faire leur travail.

En attendant que nous prenions une décision, je vous souhaite une très bonne période de bac blanc (c'est bientôt, non?), et je croise les doigts pour que le 'vrai' bac se passe bien pour vous,

Siavainah

21 juin 2010

Thème : internationalisation des échanges et mondialisation

Processus de constitution d’un marché unique qui tend à devenir universel par abaissement des frontières entre les économies, les nations.

La mondialisation peut être envisagée comme la continuité du processus d’internationalisation des échanges auquel nous assistons depuis deux siècles ou comme une rupture historique, comme l’avènement d’un nouvel ordre mondial, fonctionnant sur une logique différente de l’ancien, notamment du fait du déclin des États-nations.

 

 

I.                    Le formidable essor du commerce international

 

Leséchanges de biens et de services ont été multipliés par 1000 au cours des deux derniers siècles, alors que le PIB n’a été multiplié que par 60.

 

 

  1. Les outils d’analyse du commerce international

 

- La balance des paiements

C’est un document comptable retraçant l’ensemble des paiements effectués entre les résidents et les non-résidents d’un pays.

 

Les principaux soldes de la balance des paiements :
- Solde des échanges de biens = Excédent commercial ou déficit commercial
- Solde des transactions courantes
- Solde des transactions courantes + Solde du compte de capital = capacité ou besoin de financement de la nation.
-Solde du compte financier : il est égal et de signe opposé à la capacité ou au besoin de financement de la nation.

 

- L’ouverture internationale

On appelle ouverture internationale d’un pays son degré de participation aux échanges internationaux, comparativement à son poids économique.

 

-Le degré (ou taux) d’ouverture correspond à la moyenne des exportations et des importations, rapportée au PIB. Attention à ne pas le confondre avec le taux de couverture, qui permet de comparer les exportations et les importations.

-Le taux de pénétration étrangère d’un marché (d’une branche, d’une économie) mesure la part de ce marché occupée par les entreprises étrangères.

-Le taux d’exportation ou l’effort à l’exportationmesure la part de la production destinée à l’exportation.

 

- L’indice des termes de l’échange
Les termes de l’échange permettent de comparer l’évolution des prix des produits importés et celle des produits exportés.

-Utilisé pour les comparaisons dans le temps.

  1. Le développement du commerce international

 

1- L’essor du commerce international a transformé la nature et le contenu des échanges

a) Etapes de la mondialisation :

 

-L’internationalisation des échanges commerciaux (2nd moitié XIXe) intensifie la diversification géo des marchés ainsi que l’ouverture et la spé des éco.
-L’internationalisation de la production ou transnationalisation : après la 2
nd guerre mondiale, essor des flux d’IDE et stratégies de délocalisation géo des FTN.
-La globalisation (80s) : mise en place de réseaux mondiaux de P, K et d’infos, dont le symbole est la globalisation financière.

 

b) Les transformations du contenu des échanges :
-Les produits manufacturés constituent l’écrasante majorité des flux de marchandises.
-Les échanges internationaux de services se sont développés.

 

- Les mouvements de capitaux représentent 90 % de tous les échanges internationaux (de biens, de services et de capitaux).

 

 

c) Les transformations de la géographie des échanges :

 

Les courants d’échange sont largement déterminés par la Division Internationale du Travail (DIT), qui fait que les pays se spécialisent dans certains types de production.

 

-Transformation du DIT :

 

   *DIT traditionnelleattribués aux pays développés la fabrication des biens manufacturés et des services, aux pays pauvres la fourniture des produits primaires en général (agricole, MP). Remis en cause car les pays du sud produisent aussi des produits manufacturés.

 

   *Nouvelle DIT désigne la spé actuelle des pays : NPI (asiatiques surtout) produisent today des produits manufacturés et de hauts de gamme. Les Pays dvpé fabriquent des produits technos et services donc nécessité de hautes qualifications. Pays pauvres produisent moins de produits primaire (L’Afrique et l’Amérique latine représentaient 17 % du commerce mondial au début des années 1950 ; elles n’en représentent plus que 8 % aujourd’hui).
   *Tripolarisation des échanges : pôle de la Triade en relation, et sont en concurrence avec les autres pays, ainsi part de l’Afrique, de l’Asie  dans le commerce mondial chute, les X n’
ñpas vite.

 

 


d) Le développement du commerce intra-branche entre PDEM.
On appelle commerce intra-branche les échanges concernant les produits similaires issus de même branche (importations et exportations d’automobiles par exemple).
-Il peut concerner des produits similaires de même gamme, différenciée horizontalement (design, image de marque) ou bien des produits similaires de gammes différentes : on parle alors de différenciation verticale.

 

2- La régionalisation des échanges et l’intervention des institutions internationales

Le commerce international correspond à l’ensemble des flux de marchandises entre les espaces éco nationaux.
-On distingue 5 degré dans l’intégration économique d’une zone : la constitution d’une zone de libre-échange, une union douanière, marché unique, union éco, union monétaire.
-Changement commerce international :
   *Echanges internationaux encadrées par des institutions internationales ;
   *Institutions dans le domaine monétaire et financier : création FMI qui doit gérer les risques attachés à l’endettement des PED, transition vers le capitalisme des PECO et instabilité des K pouvant créer des crises monétaires et financiers ;
   *Niveau politique : création ONU pour renforcer coop internationales (FAO, UNESCO…).
   *Part des produits manufacturés a
ñ, part services a ñ
, Triade a marginalisé certains pays (Afriques…).
   *Commerce internationale a
ñdép. les 50s favorisé par libre échange.

 

II.      Libre-échange vs protectionnisme
Libre-échange : politique commerciale qui consiste à supprimer les entraves aux échanges internationaux / doctrine économique qui préconise de laisser une totale liberté de circulation aux biens économiques entre les pays.

Protectionnisme : politique commerciale qui consiste à fermer ses frontières aux produits étrangers afin de favoriser les entreprises nationales / doctrine économique visant à favoriser les entreprises nationales et à pénaliser la concurrence étrangère.

  1. L’échange international, facteur de croissance

1- Les théories des avantages absolus et comparatifs
-Pour A. Smith, le libre-échange est facteur d’enrichissement pour les nations. Chaque nation a intérêt à se spécialiser dans la P pour laquelle le cout unitaire est le plus bas dans les autres pays.
-
Pour Ricardo, les pays ne disposant pas d’un avantage absolu ont tout de même intérêt à se spécialiser dans la production où leur désavantage est le plus réduit.
-
L’analyse ricardienne a été par le théorème HOS. Les nations sont amenées à se spécialiser dans les produits incorporant une forte quantité de facteur de production (travail, capital, terre) qu’elles possèdent en abondance.

2- Les nouvelles théories du commerce international
-Un effet de dimension : grâce à la spécialisation, chaque nation peut produire plus et plus efficacement. Cela permet la réalisation d’économies d’échelle et d’effet d’apprentissage, qui améliorent la productivité et font baisser les coûts de production. C
-Un effet de diversification : grâce aux importations, les consommateurs, mais également les entreprises, ont à leur disposition une plus large diversité de produits pour satisfaire leurs besoins, que ce soit en termes de biens et services de consommation ou de biens de production.
-Un effet de concurrence : le commerce international et le libre-échange permet l’entrée de nouvelles entreprises sur des marchés qui sont largement oligopolistiques (donc pas optimaux).


3- Les effets pervers du libre-échange
-Certains économistes, comme Arghiri Emmanuel, l’échange international est inégal. Le libre-échange serait un moyen utilisé par les pays riches pour dominer les autres. Pays pauvres doivent exporter toujours plus pour importer moins : ils connaissent une « croissance appauvrissante ».
-Le libre-échange réduit les marges de manœuvre en termes de politique économique. La contrainte extérieure est en effet plus importante, et il devient difficile de mener une politique économique isolée.
-Le libre-échange se traduit souvent par une hausse du chômage des travailleurs les moins qualifiés, du fait de la mise en concurrence de ces derniers avec une main-d’œuvre très bon marché à l’étranger.

  1. La persistance des pratiques protectionnistes

1- Les arguments du protectionnisme
-
Pour F. List le protectionnisme est le seul moyen de stimuler l’industrialisation des nations car le « protectionnisme éducateur » protège les E nationales naissantes et le marché intérieur.
-Paul Krugman démontre l’intérêt d’une « politique commerciale stratégique ». L’Etat rend difficile l’M de certains produits en augmentant frais de douane et mettant des quotas pour favoriser la P nationale.
-Protectionnisme pour défendre intérêt national, limiter la dépendance de l’extérieur ; protéger les industries sénescentes (adaptation progressive) ; douane pour besoin en termes de recettes fiscales.

 

2- Les effets pervers du protectionnisme
-
Les importations sont parfois rigides à la baisse, en particulier lorsque le produit n’a pas de substitut ou n’est pas produit sur place => inflation.
-Mesures protectionnistes entraînent des mesures de rétorsion. C’est d’ailleurs pour éviter cette escalade que l’OMC a été mise en place.
-La diminution de la concurrence peut nuire aux consommateurs, par insuffisance de la qualité ou par des prix élevés. A long terme, les E peuvent devenir moins performantes, du fait de l’absence d’investissement, en particulier dans la recherche et développement.

 

III.                Insertion dans les échanges internationaux et développement

 

  1. Une réduction des inégalités mondiales à relativiser

-Les inégalités internationales ò, mais cela reflète le phénomène de croissance de pays très peuplés comme la Chine et l’Inde, plutôt qu’une réelle réduction des écarts entre pays.
-Au contraire, ces inégalités entre pays s’accroissent dép. la fin de la 2
nd GM, et les inégalités internationales, si l’on ne tient pas compte des deux géants démographiques asiatiques, ont
ñdepuis les années 1980.

 

  1. Des stratégies de développement plus ou moins efficaces

     

1- La réussite des NPI
-Les NPI ont décidé de faire une politique de remontée des filières largement organisée par l’État (ça vise le marché extérieur). Le principe est de commencer par fabriquer un produit de grande C puis on remonte la filière pour fabriquer les machines-outils nécessaires à la P quitte à délocaliser la P.
-L’Etat a choisi une spé pour s’insérer dans le commerce mondial et a aussi protéger le marché intérieur en dvpant les branches qu’il peut dvpé à l’aide de K étrangers.
-Les valeurs ont joué un rôle dans le dvpt des pays asiatiques, la pop a toujours valorisé le collectif incarné par l’Etat et a accepte de payer un lourd tribut avec le maintien d’un faible pvr d’achet.

2- Les difficultés de l’intégration internationale
-Le pays se spé dans la P d’un produit primaire pr lequel il est bien doté, en MP, climatique, produit peu transformé avant l’X. Ces X génèrent des revenus favorisant l’accroissement de la D => I.
-Mais pas toujours marché : ne dvp pas tjr marché intérieur, revenus ne constituent pas un marché intérieur, la P supp n’est pas mise en vente, il faut importer pour rep à la demande.
-Les IDE privent l’Etat et donc la pop des retombés positives.
-Les spés n’incitent pas à l’
ñ
du niveau de qualification de la main d’œuvre, faiblesse du K humain.
-Produits primaires ont un prix fluctuant dans le tps, leur pouvoir d’achat a
ò
: cela signifie qu’avec la même quantité d’un produit primaire, on achète de moins en moins de produits transformés.
-Les PED se sont endettés car durant les 1970s les prix des produits primaires étaient élevés mais ça n’a pas duré car la dette n’a pu être remboursé.

  1. Le rôle controversé des institutions internationales

1- Le consensus de Washington
Le consensus de Washington désigne un ensemble de mesures d’inspiration libérales imposées par les institutions internationales (FMI et Banque mondiale) aux PED à partir des années 1980, en échange d’une aide au développement.
-principe :
ò les dépenses publiques, PO ; ñ la taille du secteur privé (baisser impôts sur les E…) ; alléger les réglementations avec recherche d’une plus grande flexibilité du marché du W.

2- Et sa remise en cause actuelle
-
Les plans d’ajustement structurel sont des plans construits et imposés par les organisations internationales visant à remettre de l’ordre dans les déficits publics et commerciaux en échange d’un refinancement de la dette (c’est-à -dire de prêts nouveaux et/ou d’un rééchelonnement de la dette). -Pour lutter contre le déficit public, le FMI ou la Banque mondiale imposent une réduction des dépenses publiques.
-Pour lutter contre le déficit commercial, ils imposent l’ouverture des frontières (pour rétablir la concurrence sur le marché intérieur) et une réduction de la demande intérieure (l’excédent de production amené par cette réduction du marché intérieur peut être exporté, ce qui réduit le déficit commercial, surtout si cela s’accompagne d’une réduction simultanée des importations
-Une lutte sévère contre l’inflation : diminution du déficit budgétaire, gel des salaires (ce qui contribue à la réduction de la demande intérieure) et hausse des taux d’intérêt.
   =>Chute du pvr d’achat.

 

 

13 juin 2010

Stratégie internationale des entreprises

Certaines entreprises remettent en cause le pouvoir des états (2006 : CA Wall Mart = PIB Arabie Saoudite et > PIB Danemark)

Les IDE sont le principal moteur de la mondialisation, avant les échanges internationaux.

 

I. Pourquoi les E s’internationalisent-elles ?

A. La transnationalité des firmes au cœur de la mondialisation. 

1. Les firmes transnationales (FTN)

Def : E qui exerce une partie de son activité à l’étranger.

Composition : Maison mère + filiale (+ sous-traitant dépendants)

Stratégie mondiale, pour générer un bénéfice maximum, concurrence mondiale

Deux contraintes :

ð  exigence de rentabilité par les actionnaires

ð Concurrence par les prix de + en + intense.

Les FTN vont en particulier chercher à mettre en concurrence les États et les territoires pour en tirer le maximum de bénéfices.

2. Les investissements directs à l’étranger (IDE)

Exportations de capitaux à l’étranger pour créer, racheter ou prendre le contrôle d’une E (> 10% du K)

IDE(>10% du K, logique productive) ≠ I de portefeuille(<10% du K, logique de placement)

Ce sont les FTN qui réalisent des IDE. (Organisation mondialisée & internationalisation des E)

80’ : IDE x 4 ||90’ : IDE x 5 || Stratégie de croissance externe (rachat et fusion pour s’agrandir, ex Mittal Arcelor en 2006, leader sur le marché de la sidérurgie)

Pays du nord majoritairement concernés (à l’origine de 95% des IDE et en reçoivent 70%)

2000’ : Pays émergents accueillent + d’IDE (Chine x10) grâce aux stratégies des FTN (stratégie de marché, stratégie de coût)

B. Des objectifs stratégiques variés

1. Logiques des Entreprises

Logique d’approvisionnement : plantations, activités extractives (Total : puits de pétroles, Areva : mines d’uranium)

Stratégie de marché : (prolongation des exportations) produire sur place grâce à des filiales et contourner barrières douanières (McDonald, Disneyland)

Stratégie de rationalisation : profiter avantages comparatifs et coûts de production plus bas (décomposition du processus de production à l’échelle de la planète)

2. L’impératif de compétitivité (capacité à soutenir concurrence et accroitre ses parts de marché)

Lieu d’implantation varie selon l’objectif recherché

Recherche compétitivité prix (couts de P locaux sont facteur déterminant => délocalisations)

Produire et vendre sur place (taille du marché déterminante : pays à forte croissance Chine-Inde)

Main d’œuvre qualifiée, externalité positive (R&D, ↗Qualité : pays du Nord)

II. Faut-il avoir peur des FTN ?

A. Les effets favorables des FTN et des IDE

Création d’emploi (sur le site + sous-traitants + autres (car revenus distribués), ↗ Niveau de vie)

Stimulation des exportations

Transfert de technologie (=> progrès technique, ↗Productivité)

Effet vitrine (région + attractive : nouveaux IDE + I Publics = crèches, infrastructures de transports…)

= Concurrence entre états

B. Les effets négatifs

1. Spécialisation internationale et DIPP

La décomposition du processus de production au niveau mondial = spécialisation des pays selon stratégie FTN (PED : filiale-atelier, faible VA, activité polluante +soumis volonté FTN)

Afrique : enclave éco (pas de dvt car FTN + IDE entraîne spécialisation dans les matières premières)

Amérique latine : matières premières appartiennent aux FTN (réformes pour lutter contre le sous-dvt difficile + dégradation de l’environnement)

IDE entraîne situation de dépendance

2. Les délocalisations

Migration d’une activité d’un territoire national vers l’étranger + transfert de segment de prod vers l’étranger (DIPP)

Destruction d’emplois locaux (peu qualifiés, 70’ secteur industriel, Ajd’ service, relat° clients, centre appel…), mais il faut nuancer

Concernent peu d’emplois (5% des emplois perdus sont du aux délocalisations en 2005)

Effets bénéfiques (↗compétitivité ↗Production, créa d’emploi dans R&D, ↘cout de prod ↘prix)

Impact social fort (chômage très élevé, répercussion sur tte l’activité éco si région dépendant de l’E)

Hausse des inégalités (Pays riches : travailleurs qualifiés - non qualifiés + touchés par chômage)

III. Quelle régulation pour la mondialisation ?

A. La mondialisation a modifié le pouvoir des états.

FTN peuvent imposer leur volonté (USA, 1992 : gdes firmes refusent protocole de Kyoto)

Politiques éco transformées (concu pour les IDE, parfois contre l’environnement ou le social)

Intérêts FTN (PED : exploitation richesses, faible VA) ≠ intérêts Etat & Population (PED : I dans infrastructure ou transferts de techno)

Mondialisation : justifie politique Etat (↘intervention dans social & dans éco)

Services publics, infrastructures, R&D et main d’œuvre efficace attire entreprises (externalités positives, compétitivité structurelle des E mise en avant)

Mondialisation entraine prise de décision au niveau mondiale (coordination des états)

B. Une nouvelle gouvernance mondiale ?

1. La remise en cause des modes de régulation traditionnels

Organisation Internationale illégitime ? (absence des pays en voie de dvt : Chine, Inde, Brésil…)

FMI + Banque centrale : 1$ = 1 voix

OMC : 1pays = 1voix (+ négociations secrètes USA, UE, Inde, Brésil (a la place de Canada+Australie))

Pas de transparence + non prise en compte de l’intérêt général (OMC et pb d’environnement (Stiglitz) ou de santé, FMI et équilibre éco international…)

Remise en cause du consensus de Washington (PED dès 80’ favoriser secteur privé, baisser dépense d’état, libéraliser l’éco en échange d’aides)

Plans d’ajustements structurels (lutte contre l’inflation, ↘dépenses publiques : ↗chômage, récession, effets sociaux désastreux)

2. Vers une nouvelle gouvernance mondiale ?

Organisations internationales : nouveaux objectifs et moyens d’actions (discours plus nuancés, intervention état dans le domaine scolaire et agricole)

Prise en compte des ONG (mvt de contestat° contre les org internationales pr de multiples raisons (environnement, social etc…) et font pression sur gouv et org)(Croix rouge, Médecin sans frontières)

Mise en place de normes internationales

Normes environnementales (Pb Nord/Sud, car le Sud n’a pas les moyens de respecter les normes)

Normes sociales ? (pb de financement pour le sud -travail des enfants : main d’œuvre à bas coût)

 

CCL : la mondialisation génère des problèmes, mais c’est un processus en marche, qu’il faudra réguler pour qu’elle produise les meilleurs effets possibles et qu’elle soit au service du dvt et du dvt durable

13 juin 2010

Thème : Stratification sociale et inégalités

La stratification sociale désigne l’ensemble des systèmes de différenciation sociale basés sur l’inégale distribution des ressources et des positions sociales.

 

Chap I : Egalités et inégalités

 

 

I.                    Egalités

 

 

A.     Sociétés démocratiques selon Tocqueville
-Ce sont les sociétés qui reposent sur le principe d’égalité permettant d’envisager une mobilité sociale.

 

-Egalité des conditions: égalité des droits, liberté d’agir et sentiment d’être légal des autres.

 

   -->égalité des droits : tous égaux devant la loi.
   -->égalité des chances : talent à l’origine des positions sociales.
   -->égalité des situations: niveaux et modes de vie sont proches.

 

-Toutes les inégalités n’ont pas disparu, mais elles sont légitimes  car elles proviennent des différences de capacités et des mérites.

 

 

B.     Réduction des inégalités

 

-Dép. début XX-> diminution des inégalités de revenus dans la plupart des pays dvpé.

 

-Pdt RI -> inégalités éco ñ puis òcar les travailleurs ont acquis des droits sociaux et l’Etat es intervenu.

 

- Diminution des inégalités éco quand ->*crise éco = faillites avec ò valeur du patrimoine des + riches ;                                                            *guerres= détruit une partie patrimoine éco ;

 

                                                                         *impôt progressif = taux ñselon revenus ;

 

                                                                         *Etat-providence = met  salaire minimum, revenus assurance et revenus d’assistance ;          *Luttes sociales = obtient par ex ñrevenus.

 

-Démocratisation de l’école depuis XXe -> Etat ñses dépenses, fixe des objectifs + multiplication nombre de lycées et universités => massification scolaire.

 

-Egalités H-Femme : *éco : Femme ont un travail ;
                                     *juridique: Femmes sont émancipés de l’autorité de l’H.

 

                                     *politique : citoyenneté, droit de vote (1944), accède poste politique (1999)
=> Et ce grâce à la réussite scolaire et aux luttes féministes.

 

 

C.     Moyennisation

 

Processus de constitution d’une vaste classe moyenne rapprochant ainsi les niveaux et modes de vie.

 

-Pour Mendras: société en toupie.

 

-Classe moyenne : prof intermédiaire, employés, partie cadres et prof intellectuelles sup, ouvriers qualifiés.

 

-30 Glorieuses -> modes de vie se rapprochent.

 

-Classe-> hétérogène et ce n’est pas un groupe social.

 

-Mobilité sociale se serait accrue => conscience de classe au profit d’un individualisme positif.

 

 

D.     Mesure des inégalités éco

 

-Outils : *écart inter-déciles: D1 =pauvres et D9=riches

 

*courbe de Lorenz: visualise les inégalités= + la courbe obtenue se rapproche de la bissectrice, moins il y a d’inégalités.

 

*Coeff de Gini: nombre entre 0 (égalitaire) et 1 (petite minorité a quasi toute les richesses ou revenus).

 

 

II.                  Inégalités

 

 

Une inégalité est une différence qui se traduit en termes de désavantages et d’avantages partagés par des personnes aux caractéristiques identiques.

 

 

A.     Inégalités sociales

 

-inégalités des Femmes : emploi à temps partiel, gagne 20% de mois, plus touché par le chômage, moins de poste à responsabilité.

 

-Inégalités face à l’emploi, la mort, la C, les loisirs, pratiques culturelles, prestige, pouvoir, liées au sexe, à l’âge (beaucoup sont liés aux différences de revenus).

 

 

B.     Inégalités éco

 

-Inégalités des salaires, inégalités des revenus, inégalités de patrimoine.

 

-D de travailleurs qualifiés, il y a donc une tension sur les salariés qualifiés ->ñrapide des salaires.

 

-La mondialisation est responsable de la pression et de la baisse des bas salaires.

 

-Dvpt chômage et de la précarité expliquent cette remontée d’inégalités.

 

-En longue période, les inégalités éco de revenu ou de niveau de vie ont eu tendance à se réduire.

 

 

C.     Inégalités culturelles

 

-Elles sont liées aux inégalités scolaires.

 

-Elles sont toujours importantes.

 

-Niveau de vie et de diplôme conditionnent l’accès à la culture.

 

-Montée individualisme favorise l’idée que les inégalités sont légitimes.

 

 

Chap II : Mobilité sociale

 

 

I.                    Mobilité sociale

 

 

La mobilité sociale est la circulation des individus entre les différentes positions sociales dans la hiérarchie sociale.

 

 

A.      Enjeu social et politique

 

- Social : mobilité sociale est un moyen d’évaluation de la société. En France, la société a eu tendance à ñentre 1977 et 1993.

 

-Il existe des sociétés de castes (groupes fermés), d’ordres (mobilité faible) et de classes (groupes sociaux homogènes, conscience de classe).
Pour Marx: 2 classes -> bourgeoise et prolétariat avec lutte des classes.

 

-Politique : mobilité valorisée dans des sociétés ouvertes aux changemt sociaux. Dès lors la mobilité est liée à la Q de l’inégalité des chances, démocratisation école.

 

B.     Mesures de la mobilité sociale

 

-Tables de mobilité: pas un instrument de mesure parfait -> tout changemt de PCS est défini comme de la mobilité sociale or mobilité c’est quand on change de classes sociales.

 

-Table de recrutement: indique l’origine sociale.

 

-Table destinées: indique ce que sont devenus les fils de cadres, ouvriers… donc à quelles PCS appartiennent les fils.

 

 

II.                  Formes de mobilités

 

 

A.     Mobilité horizontale etverticale

 

-Mobilité verticaleest un changement de position sociale vers le haut de la hiérarchie sociale (mobilité ascendante ou promotion sociale) ou vers le bas (descendants ou démotion sociale).

 

-Mobilité horizontaleconcerne un changement de secteur d’activité sans que cela implique un changement de l’échelle sociale.

 

 

B.     Mobilité structurelle et nette

 

-Mobilité structurelleest liée aux transformations de la structure des emplois (- d’agri, + de cadres…) dus par exemple au Prog Tech.

 

-Mobilité netteest liée à des permutations entre individus d’origines sociales différentes (fils ouvrier devient cadre et fils cadre devient ouvrier par exemple).

 

 

C.     Mobilité intergénérationnelle et intragénérationnelle

 

-Mobilité intergénérationnelle: un individu change de position sociale par rapport à ses parents.

 

-Mobilité intragénérationnelle: un individu change de position sociale au cours de sa vie.

 

 

Chap III : Démocratisation n’a pas baissé les inégalités

 

 

I.                    Polarisation

 

 

La polarisation met l’accent sur les écarts entre les situations sociales provoqués par le jeu des inégalités et le processus de regroupement des groupes sociaux autour des pôles opposés.

 

-Selon Marx, les inégalités et l’hérédité sociale restent marqués, produisant des processus de disparité, de fractures et de ségrégation entre les classes sociales dans une société conflictuelle.

 

-Dép. les 80s, les inégalités ont recommencé à ñdans les pays occidentaux.

 

-Ralentissement de la croissance a freiné la hausse des salaires.

 

-Les modes de vie sont loin d’être uniformisés = C diffère selon la catégorie sociale.

 

-Dégradation du marché du W et dvpt emplois précaires = origine de nouvelles inégalités.

 

-Ascenseur social est en panne pour les classes moyennes.

 

 

II.                  Reproduction des inégalités

 

 

-Selon les analyses de P. Bourdieu et Passeron, l’école est au cœur des mécanismes de la reP sociale.

 

-Le genre de diplôme, la durée des études et le niveau d’étude sont nettement corrélés avec l’origine sociale.

 

-L’accès aux filières sélectives et prestigieuses est de + en + fermé aux enfants des milieux populaires.

 

-Les filières sont socialement marquées : 2/3 des enfants du milieu populaire vont dans la série technologique et professionnelle.

 

=> Les inégalités se cumulent et se renforcent. Par exemple, les inégalités de logement et de qualité de vie entraînent une inégalité de réussite scolaire des enfants, ce qui a une conséquence sur les positions sociales qu’ils occupent à l’âge adulte.

 

 

ð  Pour Lipietz, la société a une tendance à être en sablier avec une paupérisation des ouvriers : « On observe un dégonflement du vaste centre des couches moyennes et l’apparition d’une société que l’on appelle la société des two-tiers ».

 

ð  Une étude menée depuis 2004 montre que les inégalités se creusent au profit des plus hauts revenus. Selon l’INSEE, le revenu annuel des 5 800 les plus riches va de 688 000 à 13 millions d’euros ; et la proportion de personnes vivant sous le seuil de pauvreté est passée de 13.1% à 13.4% ce qui porte à 8 millions le nombre de pauvres.

 

ð  Sont pauvres, les individus qui perçoivent 908€ par mois.

 

 

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13 juin 2010

Comparaison Japon/USA

I. Un continuum urbain ouvert sur le monde

1. Un univers urbain

· CBD

· Central Park et le Parc de l’empereur

· 24M d’habitants et 35M d’habitants

· Fonctions de direction (macrocéphalie)

· Des pouvoirs partagés (New-York, Washington)

2. Des métropoles en transformation

· Déplacer la capitale ?

· Phénomène de Gentryfication

· Les pôles de recherche sont éloignés de Tokyo

· La Rust Belt, industrie en reconversion

3. Des mégalopoles ouvertes sur le monde

· Des réseaux de transports maritimes et fluviaux

· Des ports (Miami, Norfolk, New-York, Tokyo, Kawasaki)

· Des voies de chemins de fer

· Des tunnels, des ponts.

II. Les stratégies

1. Le poids des héritages

· Colonisation par les anglais

· Le Go West

· La seconde guerre mondiale

· Ouverture forcée sur le monde

· Révolution industrielle

2. Les dynamiques métropolitaines

· Des aéroports

· Concurrence pour les sièges sociaux

· Dynamique en vol d’oies sauvages

3. L’intégration des espaces

· L’ALENA

· Hokaido et Kyushu

III. Contraintes et problèmes.

1. Les contraintes Climatiques et d’espace

· Typhons et ouragans

· Séismes

· Inondations

· Japon : Trop petit : Polders

2. Les problèmes des inégalités et des frontières

· les minorités (Les barakoumines, les afro-américains et les latinos)

· Des frontières parfois inégalement intégrées Mexique-USA

· Des espaces toujours plus riches

· Le japon de l’endroit et le japon de l’envers

3. Les problèmes environnementaux

· Pollution dans les villes

· Pollution avec la production

· Extinction d’espèces d’animaux et de végétaux

· Trop d’engrais

13 juin 2010

Biographies (K.K.DG)

John Fitzgerald Kennedy est né à Brooklyn en 1917 et intègre Harvard où il obtient un diplôme avec mention. Entré dans les marines, il fait la seconde guerre mondiale. En 1947, il obtient un siège à la chambre du parti démocrate et en 1952, il est promu sénateur du Massachussetts. En 1960, il est candidat à la présidence et à quelques voix près, devient le trente-cinquième président des Etats-Unis d’Amérique. Arrivé en période de guerre froide, c’est lui qui va avoir à régler la crise de Cuba, et grâce à sa politique diplomatique, il parviendra à engager la ’détente’. Il lance le pouvoir Apollo en 1961 et préconise le déficit budgétaire pour régler les problèmes économiques du pays. Au-delà de ça, il lutte contre la ségrégation raciale et meurt en Novembre 1963, assassiné.

Nikita Khrouchtchev avait participé à la révolution bolchevique de 1914 et c’est ce qui enclenchera sa carrière au sein du parti communiste. En 1934 il intègre le Comité Central du Parti Communiste et devient Soviet Suprême en 1937. Durant la seconde guerre mondiale où il combat activement notamment pour défendre l’Ukraine et Stalingrad, il est nommé général. En 1953, il devient premier secrétaire du parti et enclenche la destalinisation en dénonçant le culte de la personnalité utilisé par son prédécesseur. En 1958, il est promu premier ministre, mais sa politique agricole est un échec, à l’image de sa politique étrangère qui mènera à Cuba, il est alors démis de ses fonctions en 1964.

Charles de Gaulle nait en Novembre 1890 dans une famille très riche. Jeune déjà, la carrière militaire l’attire et il entrera à Saint-Cyr en 1908, dont il ressortira 13ème en 1912. Il participe à la première guerre mondiale aux côtés du général Pétain. Fait prisonnier, il sera libéré en 1918. Pendant l’entre-deux guerres, il enseigne à l’école de guerre où il prône une nouvelle stratégie de guerre de mouvement. L’état Major français ne l’écoute pas et, défavorable à l’armistice de 1940, il quitte la France pour rejoindre la capitale anglaise. Le 18 Juin 1940, il lance son célèbre appel à la BBC. Dès lors, il s’impose à la tête d’une France libre et rassemble les différents mouvements de résistance. De 1944 à 1946, il dirige le gouvernement provisoire puis démissionne et ne reviendra au pouvoir qu’en 1958. Il met alors en place une nouvelle constitution et créé la Vème république. En 1962, il met fin à la guerre d’Algérie et se fait l’investigateur du suffrage universel pour l’élection du président. Le temps qu’il était à la tête du pouvoir, il a soutenu une politique de prestige extérieur de la France et démissionnera en 1969, suite à un ’NON’ à un référendum. 

 

13 juin 2010

UE, centre dynamique multipolaire et zones de faiblesses (carte)

Des pôles et des axes

Rond rose entouré rouge : métropoles mondiales : Paris & Londres

Trait bleu épais : le couloir rhénan : Amsterdam/Suisse

Trait bleu : autres axes majeurs : Sud Esp/Paris/Londres/Glasgow Madrid/Barcelone/Milan Bruxelles/Amsterdan/Hambourg/Stockholm Rome/Munich/Francfort

Facteur d’évolution des territoires

Insertion dans l’espace mondialisé

Interface (bleu) : Esp Fr Ouest It Est Gr Atlantique La Manche

Flèche verte : IDE : 80% AdN

Flèche rouge : Immigration : Maghreb => Esp Fr Sicile | Est=> Fr It Sicile Bucarest Slovénie Hongrie Pologne Baltes | Berlin=> Londres | It=> All

Politique de dvt régional

Carré bleu : Siège commission UE : Bruxelles

Point noir : métropoles en croissance : Lisbonne Madrid Barcelone Glasgow Dublin Stockholm Bucarest Budapest Athènes Rome Dusseldorf Berlin Amsterdam Hambourg Copenhague Helsinki Varsovie Vienne Sofia Milan

Flèches noires : FEDER et IDE vers les régions en retard : Ouest => Est

Pôles dynamiques et périphéries

Pôles dynamiques

Rond rouge : mégalopole UE

Rose : Fort potentiel commandement & recherche : Paris Londres + Espace Rhénan

Orange : espace productif : Fr (sauf centre) Côte Esp & Portugal Zone Rhénane Varsovie Budapest Prague Helsinki Stockholm

Des périphéries en cour d’intégration

Jaune : déprise et sous peuplés : Nord, Fr centre Esp & Port centre Sud RU Nord Ouest

Turquoise : Nveaux adhérants (2004/2007) : Baltes + Pologne + Prague + Budapest etc…

13 juin 2010

USA, organisation du territoire (carte)

Les mutations spatiales

Les métropoles

Rond rouge : métropoles mondiales : LA, Chicago, Washington, New-York

Point rouge : autres : San Diego, San Fransisco, Phoenix, Salt Lake City, Denver, Las Vegas, San Antonio, Houston, New Orléans, Miami, Baltimore, Philadelphie, Boston, Pittsburg, Detroit, Buffalo, Minneapolis St Paul, Seattle, Atlanta, Dallas

Les mutations industrielles

Carré jaune : en reconversion : Chicago, Buffalo, Pittsburg, Baltimore, Detroit

Carré violet : espaces industriels dynamiques : Seattle, LA, SF, LV, Phoenix, Denver, Houston, Miami, Atlanta, Dallas

Affirmation des interfaces

Interfaces (bleu) : maritimes : Pacifique, Mégalopolis, Miami, Golf du Mex

Hachure bleu : interface continentale : Mex Gds Lacs Seattle

Les principaux facteurs explicatifs

Flèche rouge : délocalisation : Chicago => Côte ouest Centre => Texas & Floride

Flèche verte : IDE : 6% Asie 79% UE

Flèche bleue : Flux migratoire : Mex, Houston, Miami, Mégalopolis, côte ouest

Nom de pays : ALENA

Traits roses : autoroutes

Traits bleus : voie maritime

 

Les grands ensembles régionaux

Rouge entouré rouge : Centre étatsunien

Trait violet : mégalopolis

Jaune entouré orange : Sun Belt (sud + Seattle)

Orange : Régions motrice sun belt ( SF LA Miami Texas)

La périphérie

Bleu : sud intérieur : est

Vert : Grenier américain : centre

Turquoise : Périphérie vide : ouest & nord

Hachures noires : hautes terres (tourisme + gisements) Turquoise + Atlanta/Pittsburg

13 juin 2010

La superpuissance américaine dans le monde (carte)

La superpuissance géopolitique

Les alliés

Triangle jaune : Washington (puissance politique et militaire)

Bleu foncé : Territoire USA

Bleu clair : Alliés USA : Amérique (-Mexique) Océanie UE + Norvège Egypte Pakistan Afghanistan Japon Turquie Afrique du Sud

Rond bleu : Membres de l’OTAN : Fr All Bénélux RU Tu Baltes Rou Bul Gr Da Ca

Rond orange : Anzus : NZ Au

Zones stratégiques et forces US

Tirets bleus : Zone vitale sous haute protection : Amérique du Nord, UE de l’ouest, Tu=> Zone pétrole, Japons et Philippines et CdS

Rond croix : Sea Power : Atlantique, Indien, Pacifique, Méditerranée

Triangles noirs : Interventions récentes : 3 Amérique Centre, Kosovo, Irak, Afghanistan, Vietnam

La superpuissance culturelle et économique

Partenaires et régions relais

Hachure bleue : ALENA

Tirets roses : ZLEA : Amérique

Tirets Marrons : APEC : USA + Chili + Bolivie + Australie + NZ + Océanie + Morceau Chine et Russie.

Carrés verts : Partenaires commerciaux et financiers : AdS Mex Ca Océanie Au

Centres de décisions et interfaces

Rond vert : villes mondiales : Chicago New-York Los Angeles

Trait noir : Mégalopolis

Interfaces (bleu) : est, ouest, golf du mex

Ovale bleu : Centre de recherche & dvt, university & parc technologique : 8 (2 ouest) (1 Floride) (3M)

Immigration

Flèche violette : Brain Drain : UE Afrique AdS Asie

Flèche rouge : Immigration hispanique : Via Mex

Fragilités et limites de la superpuissance

Limites géopolitiques

Losange violet : Instabilité moyen orient

Hachures roses : Puissances nucléaires à ménager : Chine Russie

Violet : L’axe du mal : Iran Irak CdN

Rose : Etats voyous : Est sud de l’Egypte + pointe+ ouest axe du mal

Carré rouge : refus du modèle US : Cuba; 2 AdS, Russie, Chine, Pakistan, Inde

Dettes

Flèches roses et rouges : déficit import/export : UE Asie

Interdit bleu : Endettement colossal

Rond rouge : Dette publique entre les mains d’étrangers : Japon Chine Hong Kong UE Moyen Orient

Concurrence et interdépendance

Carré jaune : UE

Carré orange : Japon

Flèche orange : Investissement étrangers aux USA sup aux IDE américains à l’étranger

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