ð Jeudi 10 septembre 2009, Sarkozy annonçait l’introduction de la taxe carbone, son montant aurait été de 17€. Elle aurait reposé sur le principe du « polluer-payeur », et avait pour but de modifier le comportement des ménages et des entreprises, les inciter à mobiliser des énergies renouvelables. Elle a finalement été annulée.

Chap I : La croissance

La croissance correspond à une augmentation durable et de long terme du volume de production.

I. Mesure et Limites

A. Mesure

-On mesure la croissance avec le PIB (mesure de la richesse créée par tous les agents résidants sur le territoire nationale, sur une période donnée). Somme des VA + TVA + Droits douanier - subventions.

B. Limite

-Limite du PIB : toutes la production n’est pas prise en compte (travail au noir, travail domestique…), il y a une valorisation des effets pervers, les destructions augmentent le PIB, le PIB/hab peut cacher des inégalités très forte.

-Certains pays investissent au détriment du niveau de vie.

-IBEE est un meilleur indicateur qui prend en compte des éléments éco et oubliés par le PIB (ex : espérance de vie).

II. Aux sources de la croissance

A.    Les gains de productivité
La productivité permet de mesurer l’efficacité du système productif ; c’est une comparaison entre la production réalisé et les facteurs de production.
-On peut mesurer ainsi : Pté du W : compare P réalisé et Quantité de W utilisé,
                                          Pté du K : compare P réalisé et Quantité de K utilisé,
                                          Pté global des facteurs : compare P réalisé et Quantité de K et W utilisé.
-Facteurs des gains de Pté : Progrès Technique permet d’augmenter la Pté, qualité du K humain (capacités productives d’un individu en terme de savoir -> qualification, savoir-faire -> compétences, et savoir-être -> capacité de travail dans un collectif, lui assurant des revenus monétaires), progrès de l’org du W.
-Gains de Pté nourrissent croissance à travers une répartition entre les profits et les salaires.

B. Facteur humain
Population active est l’ensemble des individus âgés de 15 ans et plus qui exercent ou déclarent chercher à exercer une activité rémunérée.
-Augmentation de la population active favorise la croissance => + de main d’œuvre -> + de P -> ñsalaires -> ñ C.
-Niveau de la population active dépend de Facteurs démographiques : quand l’accroissement naturel est positif, il se traduit plus tard par ñ de la pop active (ex : Baby boom), quand solde migratoire positif aussi.
Facteurs socio-éco : développement du taux d’activités des, allongement de la durée de scolarité, départ retraite.
-Le K humain est un moyen de sortir de la pauvreté mais il faut une santé morale et physique, facteur de croissance.
-POINTS NEG : le chômage résulte d’un déséquilibre entre pop active et emploi + Soc de C de masse fait primer la croissance sur l’envi avec épuisement des richesses naturelles (solution : p écolo, non polluante + éolienne).

III. Deux siècles de croissance

-Cycle éco : phase A : croissance puis phase B : récession
- Croissance connu d’abord par Ru et Fr avec la RI ; après la 2^e GM USA rattrapent ; pendant 30 Glorieuses € et Japon rattrapent le niveau de vie.
-Etapes de la croissance : Société traditionnelle, Phase de transition, Décollage, Marche vers la maturité, Soc de C de masse.
-Croissance est irrégulière et inégale dans le temps et l’espace.

Chap II : Interaction croissance, dvpt et changemt social

I. Dvpt et changemt social

A. Le dvpt
Selon Perroux, le dvpt est une combinaison de changements sociaux et mentaux d’une population qui la rendent apte à faire croitre cumulativement et durablement son produit réel.
-La croissance est le moteur et la conséquence du dvpt. Elle permet une amélioration du Niveau de vie (Quantité de biens et services que l’on peut acquérir grâce à son revenu) et du Mode de vie (Manières de vivre partagé par un groupe social. Se caractérise par la structure de la C, condition de W et moyens de transports).
-Selon Sen, les famines sont liées à des pb de répartition et non de P.
-Croissance peut avoir des conséquences neg, par ex ñ des inégalités.

B. Dvpt durable
Dvpt répondant aux besoins du présent sans compromettre les générations futures à répondre aux leurs, sans laisser de dettes sociale, éco ou écolo.
-Croissance nocive à l’envi mais permet par la suite d’en améliorer l’efficacité grâce au Pté -> E polluent – et + économes en MP.
-Courbe envi de Kuznets appliquée à l’envi (corrélation entre réduction des inégalités de revenu et niveau de vie).
-Action de l’Etat : droit à polluer, norme (limite l’atteinte) et labels (montre produit est conforme à la norme).
-Empreinte écolo : outil qui mesure la D de l’H sur la biosphère et capacité à celle-ci à se régénérer.

C. Changemt social
Le changemt social désigne une modification durable des structures sociales.
-Changemt social lié au dvpt.
-Ex de changemt sociaux : tertiarisation, W des
-Croissance permet changemt car quand il y a une utilisation abondante des facteurs de P-> création emploi-> revenu -> apparition D et donc C satisfaite par l’O.

II. Croissance insuffisante

A. Société mal dvpé
-Dvpt limité par : étroitesse des marchés, surplus de C, les gens n’épargnent pas toujours, absence de K social et humain.
-Eco durable ; moderne et archaïque avec désarticulation agricole (machine chère, pas tout le monde en a) et désarticulation urbaine (centre ville riche et périph pauvre).
-Caractéristique du mal-dvpé : domination par les pays riches liés à leur endettement et dépendance.

B. Mesure du dvpt humain
IDH : indice composite sans unité compris entre 0 (absence) et 1 (dvpt tt réalisé).
-On le calcul par la moyenne de trois indices : niveau de vie, niveau d’instruction et de santé.
-IPH : indicateur de participat° des aux décisions politique, éco et salaire.
-ISDF : égalité / H pour vérifier la démocratie.

ð En fin 2008 la dette française s’élevait à 1 327,1 milliards d'euros, soit 68 % du PIB alors qu’en fin 2009 elle était de 1 500,8 milliards d'euros, soit 77,9 % du PIB.

ð En 2007, l'UE 27 consacre 229 milliards d'euros à la recherche et au développement (R&D). Les dépenses de R&D en pourcentage du PIB, qui s'élèvent à 1,85 %, restent stables par rapport à 2006.

Thème : Croissance, développement et changement social

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